Sa nièce, Hajar Raissouni, journaliste dans le même journal que son oncle, avait elle-même été poursuivie l’année dernière pour … [4], On August 31, 2019, Raissouni was arrested while leaving a gynecologist's office in Rabat, along with her partner Rifaat Al Amine, her gynecologist Dr. Jamal Belkeziz, and another doctor and an office assistant at the clinic. Maroc : la journaliste Hajar Raissouni condamnée à un an de prison ferme pour « avortement illégal ». modifier - modifier le code - modifier Wikidata. La journaliste marocaine Hajar Raissouni, 28 ans, a été condamnée lundi à un an de prison ferme pour « avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage » par le tribunal de Rabat. A Moroccan journalist has been sentenced to a year in prison for premarital sex and having an abortion, in a case activists say is part of a crackdown on critical reporters. La Ligue démocratique pour les droits de la femme organise des manifestations de soutien à Hajar Raissouni, et de nombreuses personnalités, comme l’acteur et journaliste Ahmed Réda Benchemsi, s'expriment en son nom[11]. Dans son article paru dans The New York Times en 2019, la journaliste Aida Alami note également que Reporters sans frontières classe le Maroc au 135e rang de son classement annuel de la liberté de la presse[2]. Maroc : condamnée pour « avortement illégal », la journaliste Hajar Raissouni graciée par Mohammed VI. Cette grâce a également été accordée à son fiancé et aux trois membres du personnel … Lorsqu'elle a été libérée en raison du choc extrême auquel le pays a dû faire face, nous devons penser à des situations dans lesquelles une journaliste peut ne pas avoir le même genre de traitement »[13]. Le procès de Hajar Raissouni, journaliste marocaine jugée à Rabat pour "avortement illégal" et "relations sexuelles hors mariage", a été reporté, lundi, à fin septembre. Sami Elmoudni, président du Forum marocain des jeunes journalistes Sur cette base, le journaliste estime que «la place de Hajar Raïssouni n’est pas en prison : elle n’a pas été arrêtée pour une malversation avérée ou pour avoir porté atteinte à la société d’une manière ou d’une autre». She grew up in a conservative family. [1] Another doctor and an office assistant at the clinic were given suspended sentences. Hajar Raissouni (Arabic: هاجر الريسوني; b. [10], The case stirred significant controversy in Morocco. Journaliste au quotidien arabophone « Akhbar Al-Yaoum », Hajar Raissouni est également la nièce d’Ahmed Raissouni, président de l’Union internationale des oulémas musulmans et ancien président du Mouvement unicité et réforme (MUR, islamiste). Hajar Raissouni est libre - Merci pour votre mobilisation à tous ! Soulaiman Raissouni arrêté en mai dernier, est quant à lui accusé d’avoir agressé sexuellement un autre homme. Arrêtée pour avortement illégal le 30 août dernier et maintenu en détention depuis, la journaliste dénonce des “accusations fabriquées” et [4], During 2015, Hajar distanced herself from the movement and then left Attajdid in 2016. L'un des objectifs de la campagne est la réforme des lois sur l'avortement, qui n'autorisent actuellement l'avortement que si la vie de la femme enceinte est en danger[5],[6]. "[1], Hajar Raissouni's uncle, Ahmad al-Raysuni, is a former leader of an Islamist group with significant political influence in Morocco,[8][9] though he has spoken out in condemnation of the political campaign to change the laws that were used to condemn Hajar Raissouni. Le 31 août, elle a été arrêtée aux portes d’une clinique de Rabat. After getting her baccalaureate, she moved to Salé in 2009 and enrolled at the Faculty of Sciences in Rabat. Les proches de la jeune femme dénoncent un procès politique lié à … Le procès de la journaliste Hajar Raissouni, 28 ans, prévu le 9 septembre a été reporté au 16. "Hajar is only free because of the pardon and not because it was recognized that the state had no business sticking its nose into her personal life. Hajar Raissouni (en langue arabe : هاجر الريسوني), née en 1991, est une journaliste marocaine indépendante. Le second médecin et l’assistante de la clinique sont eux condamnées avec sursis[7]. Cette mesure est à la fois saluée et critiquée par des groupes de défense des droits humains, notamment la Coalition pour les femmes dans le journalisme (CFWIJ), qui note que, bien qu'il s'agisse d'une excellente nouvelle pour Hajar Raissouni, la grâce ne rend pas justice aux problèmes que les femmes journalistes abordent dans le pays : « Hajar n'est libre que par cette grâce et non parce qu'il a été reconnu que l'État n'avait pas à mettre son nez dans sa vie personnelle. L'affaire suscite une importante controverse au Maroc. After a bachelor's degree in mathematics, she changed her path and choose to be a journalist. Originaire du Maroc, Hajar Raissouni travaille comme journaliste pour Akhbar Al Yaoum, un quotidien arabophone indépendant qui critique régulièrement les positions de l'État[1]. En 2019, elle est arrêtée et condamnée à un an de prison pour avoir prétendument eu un avortement illégal et des relations sexuelles hors mariage, bien qu'elle ait ensuite été graciée par le roi Mohammed VI . Arrêtée le 31 août, elle a été accusée d’avortement illégal et de relations sexuelles hors mariage, attaques relayées par … Le 17 octobre 2019, le roi Muhammad VI accorde une grâce royale à Hajar Raissouni, à son compagnon Rifaat Al Amine, à son gynécologue, le Dr Jamal Belkeziz, ainsi qu'au second médecin et à l'assistante de la clinique[12]. Her father was a farmer and her mother is a housewife. RABAT, Morocco – Journalist Omar Radi is straightforward when explaining why he attended a recent rally to protest the detention of fellow journalist Hajar … "[13], The move was simultaneously welcomed and criticized by rights groups, including The Coalition For Women In Journalism which noted despite being great news for Hajar, the pardon did not do justice to the issues that women journalists are tackling in the country. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. [14], Raissouni's case sparked the Kharija Ala L'Qanun (خارجة على القانون) or Outlaws campaign, an ongoing campaign for the legalization of abortion and sex outside marriage in Morocco. La famille et les partisans d’Hajar Raissouni soutiennent que l'accusation et la condamnation ont été motivées par des raisons politiques, liées en partie à son métier de femme journaliste[4],[8]. Originaire du Maroc, Hajar Raissouni travaille comme journaliste pour Akhbar Al Yaoum, un quotidien arabophone indépendant qui critique régulièrement les positions de l'État . Hajar Raissouni (Arabic: هاجر الريسوني; b. [6], Raissouni and her partner Rifaat Al Amine were both sentenced to a year in prison,[5] while the gynecologist, Dr. Jamal Belkeziz, was given 2 years in prison. [5] In her article in the New York Times, Aida Alami noted that "Reporters Without Borders ranks Morocco 135th in its annual press freedom index. 1991) is an independent Moroccan journalist. La journaliste marocaine Hajar Raissouni à sa sortie d'une prison de Sale, près de la capitale, Rabat, le 16 octobre 2019. La dernière modification de cette page a été faite le 1 novembre 2020 à 10:19. [3], Hajar was born in 1991 in Larache, Morocco. [5] At the trial, the Raissouni was able to prove scientifically that she had not had an abortion, but she was still found guilty. Lors du procès, la journaliste a pu prouver scientifiquement qu'elle n'avait pas avorté, mais elle a tout de même été reconnue coupable pour avortement illégal. A Rabat court sentenced journalist Hajar Raissouni to one year in prison, on charges of “having an illegal abortion and sexual relations outside marriage”. Sur les photos diffusées par ses proches, elle est souriante, porte des lunettes et un voile de couleur vive. Emprisonnée depuis le 31 août pour “avortement illégal” et “débauche”, son arrestation a relancé le débat sur les libertés, individuelles mais aussi politiques, au Maroc, relate RFI dans sa Revue de presse Afrique. [12] An official statement from the Moroccan Ministry of Justice explained: "In the context of His Majesty the King's compassion and mercy, His Majesty's sought to protect the future of the two fiancées that intend to start a family in accordance with the rule of law, in spite of the mistake that they may have made, which led to legal prosecution. C’était il y a un an. Hajar Raïssouni est journaliste au quotidien arabophone Akhbar Al Youm. Au Maroc, la journaliste Hajar Raissouni condamnée à un an de prison pour avortement et débauche. She received a traditional religious education and chose to wear the hijab as a teenager. La journaliste Hajar Raissouni, condamnée à un an d’emprisonnement « pour avortement illégal », a été remise en liberté le 16 octobre 2019, à la faveur d’une grâce royale. The Democratic League for Women's Rights (Arabic: فيدرالية رابطة حقوق النساء) organized protests in support of Raissouni,[5] and many public figures, such as Ahmed Benchemsi, spoke out on her behalf. Hajar Raissouni, seen on the poster, was arrested on August 31. Reporters sans frontières appelle à la libération immédiate et sans condition de la journaliste marocaine Hajar Raissouni, arrêtée le 30 août 2019 et détenue en attente d’un jugement où elle risque jusqu’à deux ans de prison pour "avortement illégal" et "relations sexuelles hors mariage". In Akhbar Al Yaoum, where she works with her uncle Soulaimane Raissouni, she writes as much on the demonstrations of unemployed graduates as on the crisis of medical students or the reform of national education. Hajar Raissouni, jeune journaliste à la plume vive et libre dans l’un des tout derniers quotidiens indépendants du Maroc, Akhbar El Youm, était incarcérée pour « avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage ». At the time, Hajar was close to the Movement for Unity and Reform [fr] (MUR) created by her uncle Ahmad al-Raysuni. [5], "Morocco's King Pardons Journalist Sentenced on Abortion Charge", "Moroccan Journalist Sentenced to Prison for Abortion and Premarital Sex", "المغرب: الملك محمد السادس يصدر عفوا عن الصحافية هاجر الريسوني المسجونة بسبب "الإجهاض, "Au Maroc, Hajar Raissouni, journaliste discrète, devenue un symbole", "Moroccan king pardons journalist jailed for having an abortion", "Moroccan journalist receives one-year prison sentence for 'illegal abortion, "Moroccan court jails journalist on abortion charge that she denies", "After slamming individual freedoms defenders, Ahmed Raissouni defends his point of view", "La journaliste Hajar Raissouni condamnée à un an de prison ferme au Maroc pour " avortement illégal, "Moroccan journalist jailed for 'illegal abortion' pardoned by king", "We are delighted that Hajar Raissouni has been pardoned, https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Hajar_Raissouni&oldid=983497548, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 14 October 2020, at 15:38. L'oncle d’Hajar Raissouni, Ahmad al-Raysuni, est un ancien dirigeant d'un groupe islamiste ayant une grande influence politique au Maroc, bien qu'il se soit prononcé pour condamner la campagne politique visant à modifier les lois qui ont servi à condamner sa nièce[9],[10]. Hajar Raissouni a 28 ans. Hajar Raissouni, journaliste marocaine condamnée à un an de prison ferme le 30 septembre pour «avortement illégal» et «relations sexuelles hors mariage», a été libérée mercredi soir. Recently, she was interested in street children and was preparing a survey on the Christian community resulting from sub-Saharan immigration in Morocco. Coalition pour les femmes dans le journalisme (CFWIJ), https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Hajar_Raissouni&oldid=176120613, Personnalité de la défense des droits de l'homme au Maroc, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. She enrolled in law school and then in political science while publishing her first articles in Al Ahdath Al Maghribia, a left-wing Arabic-language daily. She was hired at Attajdid, the daily newspaper of the Justice and Development Party (PJD) where she worked for two years. [11], On October 17, 2019, King Muhammad VI gave Hajar Raissouni, her partner Rifaat Al Amine, her gynecologist Dr. Jamal Belkeziz, and the second doctor and the assistant from the clinic, a royal pardon. In 2019, she was arrested and sentenced to a year in prison for allegedly having an illegal abortion and sex out of wedlock, though she was later pardoned by King Mohammed VI. Ce lundi 23 septembre reprendra le procès de la journaliste marocaine Hajar Raissouni. En 2019, elle est arrêtée et condamnée à un an de prison pour avoir prétendument eu un avortement illégal et des relations sexuelles hors mariage, bien qu'elle ait ensuite été graciée par le roi Mohammed VI[2],[3]. [5] One of the campaign's aims is the reform of abortion laws in Morocco, which currently only permit an abortion if woman's life at risk.