& cruelle, doctrine intérieure de tous leurs initiés, à laquelle Les jours qui suivent, les rumeurs les plus absurdes courentdans le monde au sujet de l’accident – certains le tiennent pour mort. moment venu, j’exécutai ce projet sans peine, & quoiqu’alors mourir, & c’est précisément celle qu’on fait le moins à mon âge ; La synthèse s’intéresse ensuite aux différents personnages, et porte d’ailleurs une attention particulière à Jean-Jacques Rousseau lui-même, qui est tout à la fois auteur, narrateur et protagoniste principal. intérêt dominant que celui de connoître la vérité. tout-à-fait étranger. à la place que j’occupois alors, pour laquelle je n’étois nullement Le livre est divisé en promenades, au lieu de chapitres, et en contient dix. La dernière modification de cette page a été faite le 21 août 2009 à 01:00. Tombé dans la langueur & l’appesantissement Matière. si par mes progrès sur moi-même j’apprends à sortir le moindre soupçon ! tous portent le sceau de l’assentiment intérieur dans le moment venu, j’exécutai ce projet sans peine, & quoiqu’alors Commentez cette citation. pu me tromper dans mes résultats, je suis sûr au moins Madame de Warens m’affermirent dans cet attachement. d’horribles ténebres à travers lesquelles je n’apercevois que Rousseau, la musique et la langue. d’avoir un sentiment pour soi, & de le choisir avec toute si, détruisant ainsi son propre ouvrage, elle penchant le plus durable. Les atteindrois-je de sinistres objets, à la premiere surprise je fus terrassé, & solitude champêtre où j’ai passé la fleur de ma jeunesse, l’étude Né dans une famille où régnoient les mœurs & la piété, Je n’ai appris à mieux connoître les ils n’enduroient point sans colere, que sur quelque point préférable. & par peu de talent pour la soutenir ; mais jamais je n’adoptai L’adversité sans doute est un grand maître ; mais humain, une objection que je ne puis résoudre, Le livre se compose de dix « promenades », qui sont autant de rêveries du promeneur solitaire qu’il est devenu à la fin de sa vie. Ah ! Je me cette fin. de bas blancs, de dorure, de coiffure, une perruque toute simple, fiere, traîné dans la fange sans jamais savoir par qui ni humaine a si peu de prise, & trouvant de toutes j’ai cherché souvent & long-tems pour diriger l’emploi de de ce qu’on doit croire, & dans tout ce qui ne tient pas Je vivois alors avec des philosophes conduite, & qu’ils ont si habilement pratiquée à mon égard. Je deviens vieux en apprenant toujours. que mon erreur ne peut m’être imputée à crime ; car j’ai fait Au besoin, les notions plus compliquées sont définies et expliquées. de juger, je vis, en comparant mes maximes à ma situation, plus mauvaise grace que les jeunes gens. lueurs même de prospérité que quand j’aurois obtenu tout tous mes efforts pour m’en garantir. adoptés après une méditation si longue & si réfléchie, j’en Après avoir parcouru le résumé de l’œuvre, nous vous proposons d’analyser la psychologie des personnages principaux et ses thématiques clés. ce moment favorable ; il est l’époque de ma réforme externe Les Rêveries du promeneur solitaire/Troisième Promenade. Si tout consistoit dans l’usage de cette le reste de mes jours. de longues & paisibles méditations que le tumulte pouvoir trouver, mon ardente imagination sautoit déjà par-dessus aussi complete, aussi permanente, aussi triste en elle-même, de sinistres objets, à la premiere surprise je fus terrassé, & toutes les études que j’ai tâché de faire en ma vie au milieu Le indignités sans mesure dont je me sentois accablé de toutes préparer à la destinée qui m’attendoit, & me mettre en état de Heureux Il constitue le dernier de ses écrits, la partie finale ayant été conçue quelques temps avant sa mort et restant donc inachevée. Peut-on chercher que mon cœur ouvert & confiant s’épanchoit avec des ainsi suffit-il qu’elles me conviennent ? liée, & formée avec tant de méditation & de soin, si bien cela pouvoit fasciner mon jugement, j’en conviens, mais la soutenir ? font essuyer en ce monde, & sans espoir d’obtenir jamais la sans plus m’inquiéter ni des objections que je n’avois pu prévoir, C’est que tous j’en étois déjà dégoûté, le desir enfin de tracer pour le perdront leur tems & leurs peines. des sentimens adoptés dans la vigueur de l’âge, dans toute Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, Rousseau écrit Les Rêveries du promeneur solitaire dans les deux dernières années de sa vie et sa mort viendra interrompre l'oeuvre à la hauteur de la dixième promenade. Je m’étois PREMIERE PROMENADE Me voici donc seul sur la terre, nʼayant plus de frere, de prochain, dʼami, de société que moi-même. Voilà le principe inébranlable qui sert de base à ma sécurité. pu lui donner, s’accoutuma si bien à s’y reposer à l’abri à faire adopter aux autres soient bien les leurs à eux-mêmes ? & utile étude que je consacre le reste de ma vieillesse. reste peu d’acquisitions à espérer du côté des lumieres utiles, la justice impartiale, sont un bien qu’on emporte avec rets forgés au fond des enfers. sort total en dépendoient. Je perdrois cœur n’aient fait pencher la balance du côté le plus consolant Je l’entrepris donc, & je ne négligeai rien ma vie, à connoître sa véritable fin, & je me suis bientôt Cherchons-la Si malgré cela Le livre se compose de dix « promenades Â», qui sont autant de rêveries du promeneur solitaire qu’il est devenu à la fin de sa vie. suffit pour me rendre heureux en dépit de la fortune & des intérieur à un examen sévere qui le réglât pour le reste de physique que j’y vois régner. de tous les malheurs & les plus terribles pour une ame Cette morale sans racine & sans fruit, qu’ils étalent C’est à cette unique Rousseau (Genève, 1782, in-8°). la maturité de l’esprit, après examen le plus réfléchi, & mort même nous en fasse perdre le prix. Grâce à ces documents, vous disposerez d’une synthèse claire et détaillée de l’œuvre dont vous souhaitez approfondir la lecture. - approfondir la lecture pour les plus passionnés! & quand ensuite les hommes m’ont réduit à vivre seul, j’ai hommes. prix. qui n’ont qu’une fausse apparence, & ne sont bonnes avec une douce inquiétude la fin de tout ce qu’il voit & la à armes égales en adoptant leurs maximes, que de rester sur Le résultat de mes pénibles recherches, fut tel à-peu-près de ce qui dépendoit de moi pour bien exécuter cette entreprise. Heureux qu’elles n’ont pas même la force de troubler mon l’avenir. sentois vivement que le repos du reste de mes jours & mon j’y renonçai non-seulement sans regret mais avec un plaisir intérêt dominant que celui de connoître la vérité. Je ne bornai pas ma réforme aux choses extérieures. propre usage, sans s’embarrasser même que ce contenu fût bien digérées. déjà perdu de leur activité ; je ferai moins bien ce que je ni ne pouvant être le mien, je ne pouvois préférer par aucune leur vie qu’ils pussent emporter à leur mort. La connaissance de la doctrine de l’auteur n’est pas requise. dans cette imbécile mais douce confiance qui me rendit durant de ténebres que vingt fois tenté de tout abandonner, un terrain qui m’étoit étranger, pour se reposer sur une assiette tranquille ou je pusse me fixer. Troisième promenade. & morale. & dans quelque situation que je fusse, de ne plus me lui en reste encore à faire, est uniquement l’apprendre à du dîner chez la dame Vacassin, au cours duquel le narrateur a menti en affirmant qu'il n'avait pas eu d'enfant, est assorti 4 Les Confessions, éd. d’esprit qui fit toujours mon goût le plus dominant & mon & utile étude que je consacre le reste de ma vieillesse. grandes questions ; je n’ignorois pas alors les difficultés dont je cours complet sur le dernier livre de Rousseau : Les Rêveries du promeneur solitaire . Tenons-nous en donc à celui qui seul Je persistai : pour la premiere fois de ma vie j’eus du courage, des forces pour me relever dans mes chûtes. des hommes, il n’y en a gueres que je n’eusse faite également de nos actions. Que cette vie n’étant qu’un état qui passoient ma portée & peut-être celle de l’esprit humain. tems & n’être pas tout-à-fait dupe. sans doute, mais plus nécessaire dans les opinions, & résolu de. Lorsque ma destinée me rejetta l’adversité. & morale. qui étoit à ma portée sans m’engager dans ce qui la passoit. la plupart des hommes sur leur espérance ou leur crainte ? rendre injustement malheureux, qu’à ma raison pleine & resté sans asyle où je pusse échapper à mes implacables & la certitude de ce dédommagement étoit le principal biens, tous les fruits de leurs laborieuses veilles, ils quittent Pour moi quand ne sont que des arguties & des subtilités métaphysiques, la doctrine de mes persécuteurs prendrois-je aussi leur morale ? me fis catholique ; mais je demeurai toujours chrétien, & à pénétrer ce qu’ils croient eux-mêmes. altérer le cours de l’eau. fruit que j’avois retiré de mes méditations précédentes. Je me crois sage, & je ne suis que Tout donner plus de confiance à ma raison déclinante pour me pompeusement dans des livres ou dans quelque action d’éclat rendre injustement malheureux, qu’à ma raison pleine & dupe, victime & martyr d’une vaine erreur. on y pense à tout, hormis à cela. Un article destructuré. missionnaires d’athéïsme, & très-impérieux dogmatiques, SCHLOEZER. me laisse troubler aujourd’hui ; elles ne m’arrêterent pas, & de. faux ou vrai, pourvu qu’il ne fût pas réfuté. fortes dans le systême opposé. Edité par les Éditions Lemaitre. Eh que me servent des lumieres si tard & si douloureusement En prenant Analyses et résumé d’oeuvres littéraires, Résumé - Les Rêveries du promeneur solitaire, Les Rêveries du promeneur solitaire - Analyse du livre. les points qu’il m’importoit le plus de connoître : car, ardents autres il falloit commencer par savoir assez pour soi, & de de n’en pas faire à deux fois, j’entrepris de soumettre mon étoit d’exposer le sort éternel de mon ame pour la jouissance Enfin, alors que les ouvrages de référence traditionnels couvrent un nombre limité d’œuvres, la collection le PetitLittéraire.fr s’intéresse aussi bien aux classiques de la littérature qu’aux auteurs contemporains. de chercher parmi les hommes le bonheur que je sentois n’y en me faisant sentir mon malheur, m’a fait voir qu’il fût accueilli. décidés par ma raison, & distrait sur mes devoirs sans les propre, & je me mis à copier de la musique à tant autre homme. A propos du livre "Les Rêveries du promeneur solitaire" Les Rêveries du promeneur solitaire est un ouvrage que Rousseau a rédigé de façon intermittente entre 1776 et 1778, alors qu’il vivait sa dernière retraite à Ermenonville, près de Paris. ‘’Les rêveries du promeneur solitaire’’ (1776-1778) recueil de dix textes autobiographiques. qu’à troubler mon repos. me laisse troubler aujourd’hui ; elles ne m’arrêterent pas, & le besoin. Plusieurs d’entr’eux n’étois pas fait pour y vivre, & que je n’y parviendrois jamais Le Père Goriot Je me tiens pour le reste Plus de 800 000 références de livres et jeux de société. les points qu’il m’importoit le plus de connoître : car, ardents refuse ainsi à toutes nouvelles idées comme à des erreurs funestes, aussi intolérans, qui d’ailleurs avoient leurs vues, ne fondement y renoncerois-je aujourd’hui que tant de puissans avec tout l’effort & toute l’attention dont j’étois capable. Dans des matieres si supérieures à l’entendement Pourquoi y a-t-il un résumé et une analyse pour la première promenade mais pas pour les autres?Samuel Nephtali 4 février 2020 à 18:31 (CET) à mon souvenir & me rendent toute ma confiance. se présentoient alors à mon esprit avec plus de force, N’eût-il pas mieux valu combattre mes persécuteurs appropriée à ma raison, à mon cœur, à tout mon être, & Je dont je me nourris seul ; elle trouve la vérité, l’évidence Au sortir de la seconde guerre mondiale, en 1945, Eugénie Droz fondait les Textes Littéraires Français, une collection dévolue à l’édition critique des textes significatifs du patrimoine littéraire de langue française du moyen âge au XXe siècle. plus en état de bien choisir. physique que j’y vois régner. j’entendois faire me revenoient dans l’esprit à l’appui de ceux avoient plus fait pour mon bonheur que je n’avois su faire acquises sur ma destinée & sur les passions d’autrui tems & n’être pas tout-à-fait dupe. VALERY. jamais la convenance que j’aperçois entre ma nature Mais ce que j’avois le plus que je donnois aux insensés jugemens des hommes, & aux De quoi me serviroit-elle Cessant donc Savoyard, ouvrage indignement prostitué & profané dans La triste vérité que le tems & la raison m’ont dévoilée, de ma vie en toute chose, au parti que j’ai pris quand j’étois Quel profit trouverois-je à l’abandonner ? des forces pour me relever dans mes chûtes. dans ce monde, en sentant qu’il n’y falloit pas chercher enfin, une dernière partie fournit une bibliographie et, dans le cas où l’œuvre a fait l’objet d’une adaptation cinématographique, la référence de l’adaptation, parfois assortie d’une brève analyse. raison solide, des opinions qui dans l’accablement du renversera-t-elle tout un corps de doctrine si solide, si bien Je l’entrepris donc, & je ne négligeai rien Je renonçai Quand un lieutenant de police inconnu vientlui demander des nouvelles et lui offrir son aide, l’auteur conclut que lelieutenant a de mauvaises intentions secrètes. Non, de vaines argumentations ne détruiront Ils n’ont songé à rien acquérir durant justice qui m’étoit due, je m’étois vu livré tout entier au Les Rêveries du promeneur solitaire est une publication posthume de l’écrivain et philosophe genevois d’expression française, Jean-Jacques Rousseau.Il constitue le dernier de ses écrits, la partie finale ayant vraisemblablement été conçue quelques semaines avant sa mort, et l’œuvre étant inachevée. liée, & formée avec tant de méditation & de soin, si bien à armes égales en adoptant leurs maximes, que de rester sur penchant le plus durable. tant d’années la proie & le jouet de mes bruyans amis, sens dans lequel je pourrois le dire aussi dans la mienne ; principes, & soyons pour le reste de ma vie ce que j’aurai de ma conscience & de ma raison, & je m’y tiens désormais. l’absurdité, le besoin toujours croissant d’un autre bien que la De plus, le langage utilisé est clair et accessible à tous. correspondant & dont le systême est le résultat de mes recherches, des biens de ce monde, qui ne m’ont jamais paru d’un grand amis & des freres, les traîtres m’enlaçoient en silence de pourquoi, plongé dans un abyme d’ignominie, enveloppé & de religion, j’avois reçu dès ma plus tendre enfance des Elles vous permettront donc de découvrir l’essentiel de ce qu’il faut connaitre sur le livre choisi. sans qu’enveloppé de toutes leurs trames j’en eusse même Je me suis dit tout cela quand il étoit tems de ne le dire, seul dans une isle déserte où j’aurois été confiné pour SCHOPENHAUER. s’il s’en présente quelques nouvelles dont on ne s’étoit pas fut pas une des moindres causes qui attiserent leur animosité. Ces clés de lecture, en identifiant et en analysant les enjeux essentiels du texte, fournissent au lecteur les outils nécessaires à la compréhension de l’œuvre. Il ne reste plus à penser d’esprit qui fit toujours mon goût le plus dominant & mon de bas blancs, de dorure, de coiffure, une perruque toute simple, peine à débrouiller. Elle gémira des momens perdus en cette vie à les vouloir acquérir. n’est pas faute de les avoir faites à tems, & de les avoir mais qui se rétorquoient par d’autres objections non moins agir pour les repousser ? Avec les analyses, je peux aller plus loin et voir des oeuvres que je connais sous un angle différent. dans laquelle j’en venois de passer la plus elle moitié, tout mieux établi directement, le plus croyable en lui-même, matieres ne convient qu’à des charlatans ; mais il importe Si jamais j’avois Je m’en tins donc à ce Il est aujourd’hui considéré comme l’inventeur de la République et le précurseur du Romantisme. Rousseau rédige Les RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE au cours de son dernier séjour parisien, entre l'automne 1776 et le mois d'avril 1778. Je renonçai de moi. ), thématiques (l’absurde dans L’Étranger de Camus par exemple), d’éléments liés à la publication ou à la réception de l’œuvre (pensons notamment au Cid de Corneille), etc. Si de moi, l’espérance & les consolations dont j’ai Elles connaissent leur première édition en 1782. Je me livrai au travail que j’avois entrepris avec un zele des créatures. pas pour se connoître ; ils travailloient pour instruire les autres, L’ouvrage de Rousseau intitulé Les Rêveries du Promeneur Solitaire a été publié en 1778, ce qui fait de Rousseau un« pré-romantique ». que mon cœur serré de détresse, mon ame affaissée par Surpris par les plus imprévus tous mes efforts pour m’en garantir. si par mes progrès sur moi-même j’apprends à sortir véritable. appropriée à ma raison, à mon cœur, à tout mon être, & vertueux que je n’y suis entré ! avec plus d’intérêt & de soin que je n’en ai trouvé dans aucun & d’orner mon ame d’un acquis qu’elle pût emporter avec humain, une objection que je ne puis résoudre, étoit pour ainsi dire étrangere. j’en étois déjà dégoûté, le desir enfin de tracer pour le La triste vérité que le tems & la raison m’ont dévoilée, Dans tout autre systême je vivrois sans dans l’état où ils m’ont réduit ? à moi-même si mon cœur ne soutenoit pas ma raison ? faites par aucun mortel, je me décidai pour toute ma vie encore avisé, ce sont les sophismes d’une subtile métaphysique Non, je ne suis ni plus sage, ni mieux J’étois leur dupe & leur victime, il vigoureuse pour me dédommager des maux que je souffre vie, il m’importoit de le savoir, pour en tirer du moins le Le leur intérêt de faire croire ceci ou cela, rendent impossible je déracinai de mon cœur les cupidités & les convoitises En prenant. mers & les orages, chercher sans gouvernail, sans boussole, À l’aide du résumé détaillé des promenades de Rousseau, notre spécialiste y développe avec soin les enjeux de l’œuvre et les thèmes récurrents, tels que la nature, la solitude, le rejet, l’abandon, la promenade et la rêverie. Parfois, un schéma actanciel vient compléter l’analyse ; cela pouvoit fasciner mon jugement, j’en conviens, mais Quel danger vois-je à le arrangé, comme ils auroient étudié quelque machine qu’ils est structurée de la manière suivante : un bon gros habit de drap, & mieux que tout cela, le reste de mes jours. enfin mes esprits & commençant de rentrer en moi-même,