Au Japon, dix ans après le tsunami, la déferlante de béton, « S’intéresser aux influences des hormones sur le comportement féminin, un sujet hautement politique », « Des millions de Syriens sont durablement réfugiés au Moyen-Orient, il y a une urgence humanitaire et économique », Face au Covid-19, la solitude d’Emmanuel Macron, DVD : « The Addiction », un mariage acrobatique entre film de vampire et essai conceptuel, Luc de Brabandère, Henri Calet, Susan Choi, Frank Herbert, Edna O’Brien… Les brèves critiques du « Monde des livres », « Cold in July », sur OCS Choc : au Texas, deux hommes dans l’engrenage de la violence, Les annulations de festivals de musique se multiplient pour la deuxième année consécutive, De la naissance de la chaîne cryptée à la suspension de Pierre Ménès, les soubresauts de Canal+ dans « Le Monde », Dua Lipa, la reine du melting-pop qui allège le quotidien confiné de ses millions de fans, S’aimer comme on se quitte : « J’ouvre la porte de notre appartement, toutes ses affaires ont disparu », Le char siu bao : la recette de Chi Wah Chan. Avec tout ce que nous avons à faire sur la transition écologique. Lorsque votre maison prend feu, l’urgence est d’appeler les pompiers, pas de se préoccuper des dégâts qu’ils vont provoquer en déversant des milliers de litres d’eau sur vos effets personnels. Qui va payer l’addition de la crise exceptionnelle que nous traversons ? Qui va payer la note ? Un plan de relance de 100 milliards… Il vous reste 55.47% de cet article à lire. C'est l'expression utilisée par le président français dans son discours au début du premier confinement. D’ailleurs, pour vous, les grands perdants de cette crise seront les épargnants, donc plutôt les seniors. Les idéologues naïfs pensent déjà que les faits leur donnent enfin raison : finalement, ces dettes dont on nous rebattait les oreilles ne seront jamais remboursées. La suite est réservée aux abonnés. CHRONIQUE. C’était compliqué pare qu’il fallait les convaincre, jouer de la guitare tous les jours en expliquant qu’on était sérieux pour qu’ils nous prêtent à taux relativement bas. Selon les données de la Commission européenne, avant le coronavirus, la dette publique des pays de la zone euro devait atteindre, 10 4000 milliards … On a connu des moments où justement cette confiance fondamentale qui est indispensable pour le bon fonctionnement de l’économie avait disparu. On n’emprunte plus à des gens qui ont de l’argent, comme c’était le cas auparavant. Le groupe pharmaceutique Pierre Fabre victime d’une cyberattaque, Slack, l’application devenue championne du télétravail qui n’y croyait guère, Travail forcé : « malaise en Malaisie », Loi Climat et résilience : « Il sera crucial de s’engager dans la mobilité électrique pour le secteur automobile européen et pour les ménages modestes », Couvre-feu, écoles, vaccins : le résumé vidéo des annonces d’Emmanuel Macron pour « freiner » le Covid-19 en métropole. Transformation du logement, fini les grandes tours de bureaux puisqu’on télétravaille dorénavant. La dette, qui était déjà importante, s'accumule partout dans le monde. “La France va sortir de ce choc avec une dette publique accrue d’au moins 15 points de PIB, à 115 %”, prévoit François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. C’est qu’est-ce qu’il aurait fallu faire à la place ? Il fallait protéger le maximum de gens des dégâts économiques. Comment traverser cette crise inédite sans dépenser de l’argent ? "Huit mois après le début de la crise, le Covid-19 a coûté quelque 86 milliards d’euros aux finances publiques. Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies lors de votre navigation sur notre site, notamment des cookies de publicité personnalisée. Lecture du Monde en cours sur un autre appareil. Economie. Ce qui est clair, c’est que cette dette sera isolée de la dette récurrente et historique du pays. Tandis que les Etats promettent de faire sauter les digues budgétaires pour indemniser, renflouer, prêter, exonérer, les banques centrales jouent le rôle de prêteurs de dernier ressort, en rachetant les dettes publiques, et même privées, pour tenter de maintenir les taux d’intérêt le plus bas possible. L’investissement repart très fort et du coup c’est aussi l’emploi. Revivez l’émission de TV7. La porosité entre politique monétaire et budgétaire n’a jamais été aussi grande. Vous ignorez qui est l’autre personne ? C'est la question du jour. Et surtout, c’est l’un des sujets centraux de ce livre, la dette n’a jamais été aussi haute. Le contenu de ce site est le fruit du travail de 500 journalistes qui vous apportent chaque jour une information de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. "J’en ai peur parce que si vous voulez là encore dans l’histoire économique, si on élargit la focale, elle est jonchée d’épisodes de ce type où les gouvernements voulaient dépenser plus qu’ils ne le pouvaient. Depuis quelque temps, on parle de prélever un impôt exceptionnel en particulier sur les grandes fortunes pour rembourser en partie la dette de la COVID-19. Un fonds de solidarité qui était destiné aux plus petites entreprises et aux indépendants. STORY - Entre augmentation des impôts et maitrise des finances publiques, quel levier préférer pour rembourser la dette française due au coronavirus ? Dans ce livre, vous racontez aussi comment cette épidémie aura bousculé l’organisation de nos sociétés. On empruntait aux investisseurs sur les marchés financiers. Aujourd’hui, de Christine Lagarde, qui lui a succédé, à Emmanuel Macron, en passant par Boris Johnson, le premier ministre britannique, les dirigeants du monde entier répètent en boucle ces mots, comme une formule vaudoue, censée conjurer le mauvais sort qui s’abat sur l’économie mondiale à cause du coronavirus. L’économiste Olivier Babeau répond à nos questions et nous donne les clés pour mieux comprendre les mécanismes pour sauver l’économie française de la contagion du coronavirus sur tous les secteurs de l’économie. La patronne de la SNCB menace de supprimer les trains vers la Côte: le ministre responsable lui répond, Travailleurs ET employeurs du milieu de l'enfance en grève ce jeudi: "Nous sommes les laissés-pour-compte de ce pays". Tout d’un coup, des centaines de milliers sont disponibles, y compris pour les politiques eux-mêmes. D’où vient cette montagne d’argent et pourra-t-on rembourser ? Soutenez le journalisme d’investigation et une rédaction indépendante. Se connecter. Qui va rembourser cette dette Covid ? Qui va payer ? "Je pense que l’on n’aurait pas pu. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). "Ça fait débat" : dette du Covid-19, qui va payer ? Coronavirus: le retour à l'école a-t-il augmenté le nombre de nouveaux cas? Déjà abonné ? Cela va être très tentant de faire passer là-dedans beaucoup d’autres choses et je crains que cela nous emmène dans une spirale problématique.'. Un déficit, en 2020, de 178 milliards d'euros, soit 85 milliards de plus qu'en 2019. Qui faut-il sauver quand on ne peut pas soigner tout le monde ? Coronavirus : qui va payer la dette? Mais François Lenglet il y a une question à laquelle vous ne répondez pas tout à fait dans le livre. "C’est paradoxal mais, si vous voulez, l’épidémie finalement elle ne détruit pas de capitales, de bâtiments. On ne va pas se mentir, l’heure n’est pas à l’optimisme. La récession qui vient sera la pire depuis 1945. Vous citez quelques chiffres. Au bout du compte, le scénario d’un nouveau krach obligataire n’est pas à écarter Ce n’est certes pas une question moins intéressante que la première, mais, si l’on n’a pas vu passer la première facture, la seconde (les dettes supportées par les États) risque d’apparaître comme le vrai coût de la crise. En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Ecorama : Désintoxez-moi • 21/04/2020 à 10:55 Pour sauver nos entreprises et éviter un chômage … Conjoncture. Pourtant, quand on parle de la dette, on dit toujours que ce sont les générations futures et les jeunes qui vont payer. Pour l’instant, pas de hausse d’impôts pour les particuliers. A l’image de la prise en charge d’un malade porteur du coronavirus, il s’agit de mettre l’économie sous respiration artificielle, le temps que la crise sanitaire se résorbe. Qui va payer les dettes de la crise engendrée par le coronavirus ? Accédez à tous les contenus du Monde en illimité. Et donc à la question "Comment allons-nous rembourser la dette ? Le problème c’est qu’à ce stade on ne sait pas combien de temps va durer la crise sanitaire, ni si la reprise à suivre sera suffisante pour éponger toutes les « coronadettes Â» contractées. Tant mieux d’un certain côté pour nous tous. Les gouvernements n’ont jamais autant emprunté et dépensé en si peu de temps. Cette fois-ci il faudra trouver autre chose. Alors que là, le virus, quand il va disparaître, j’espère que c’est une question de semaines ou des mois grâce au vaccin, il nous laissera tels quels. Voici les mots que l'on peut lire dans une chronique dans … : découvrez le dernier hors-série de "Marianne" ... Hospitalisé après avoir été contaminé par la Covid-19, Moundir voit son état de santé s'aggraver et être placé en service de réanimation, comme l'a révélé son épouse Inès. On a le sentiment que les pays font comme si cette dette n’avait aucune importance. TRIBUNE LIBRE Qui va payer la dette de la crise du Covid-19 ? Ce qui laisse à penser que son impact ne sera pas considéré dans les bons comptes entre amis de la zone Euro. Vous savez que si vous le donnez dans 5-10 minutes à n’importe qui, il aura la même confiance. On en a eu en 2009, on en est sortis, avec plus de dettes quand même. Est-ce qu’on va vraiment la payer? Dans ce livre, vous comparez souvent épidémie et guerre. Une dette qui s'élève à 2.400 milliards. Le Fonds monétaire international a récemment mis en garde : la crise du coronavirus va faire grimper les déficits publics mondiaux à des niveaux supérieurs à ceux atteints lors de la crise financière de 2008-2009. C’est LA question que tout le monde se pose. Le système de retraite français souffre plus de la crise du Covid-19 que d’autres pays 01:17. "Dette : qui va payer ?" A l’approche de la présidentielle de 2022, la question du remboursement de la dette publique, dont le montant a explosé sous l’effet de la pandémie de Covid-19, hante les esprits. La dette publique a explosé, bien au-delà du seuil symbolique des 100 % du PIB, et le déficit a plongé". Mais, pour la croissance économique, après une destruction occasionnée par la guerre, cela repart très fort. L’annonce est officielle. Il reste du carburant potentiel, mais c’est moins immédiat.". Vous souhaitez nous envoyer une information?Utilisez le formulaire de contact pour nous envoyer vos scoops! Le Fonds monétaire international a récemment mis en garde : la crise du coronavirus va faire grimper les déficits publics mondiaux à des niveaux supérieurs à ceux atteints lors de la crise financière de 2008-2009. Comme une lumière électrique, cela s’allume et cela s’éteint.". La dette publique va dépasser 100% du PIB mondial en 2020. National ou communautaire ? Qui va rembourser cette dette ? ... Les conséquences économiques du coronavirus seront d’un ordre de grandeur jamais vu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Directrice de l’ONG Transport & Environment en France, Coronavirus : les trois semaines qui ont chamboulé l’orthodoxie économique européenne, Après l’épidémie et le confinement, la crainte d’une dépression comparable à la crise de 1929, Nike : jusqu'à -50% sur les articles en promotion, Europcar : -15% sur votre location de voiture, Yves Rocher : -50% sur une sélection d'articles, Red SFR : 15€ de remise sur votre panier, Made.com : 50€ offerts dès 500€ d'achats, AliExpress : 5€ offerts dès 10€ d'achats. Pour les habitations privées aussi, la demande hors des villes a explosé. Lecture 2 min Accueil Sud Ouest Éco. Vous publiez "Quoi qu’il en coûte !" Le journaliste économique de RTL et de TF1 était l'invité d'Alix Battard ce vendredi dans le RTL INFO avec VOUS. Qui va payer la dette de la crise du Covid-19 ? Cela va être très difficile parce que, pendant des dizaines d’années, tout le monde a entendu qu’il n’y a pas d’argent magique et on était à chasser les économies potentielles à hauteur de 10 millions, de 50 millions dans un budget. Quoi qu’il en coûte, l’Etat paiera. Mais la création monétaire qui sous-tend cet engagement risque de déboucher sur une inflation qui pourrait devenir incontrôlable, estime dans sa chronique Stéphane Lauer, éditorialiste au Monde. Pour soutenir le travail de toute une rédaction, nous vous proposons de vous abonner. Il va probablement falloir passer par un moment difficile mais derrière ça il est tout à fait possible que les choses se rouvrent pour la génération qui vient.". Qui va la payer et comment ? Christine Lagarde poursuit la même politique, même si elle a commencé par cafouiller en disant que l’institution n’était pas là pour « fermer les écarts de taux »d’emprunt entre les différents pays de la zone â€“ laissant supposer qu’elle n’aiderait pas l’Italie alors que la crise éclatait dans le pays. ", "C’est difficile. Ce n’est pas la fin du monde. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Qui va payer pour la transition climatique, pour le coronavirus et même pour la défense européenne si l’UE s’avisait enfin d’assumer sa responsabilité géopolitique en alternative à la défection des États-Unis ? Mais après cela va se jouer sur deux points particuliers: qu’est-ce qu’on fait de cette dette et comment est-ce que l’on retrouve une trajectoire de finances publiques normale ? Sur son ordinateur, elle peut modifier son compte bancaire et rajouter des 0, autant qu’elle le veut. Chacun peut se demander d’où viennent ces tombereaux d’argent, alors qu’il y a quelques semaines encore nos dirigeants n’avaient que deux expressions à la bouche : réduction des déficits et coupes dans les dépenses publiques. Le Covid-19 est-il une bonne nouvelle pour le climat ? Mais, passé l’état de sidération, il faudra tôt ou tard s’interroger sur ce que cette soudaine empathie des institutions monétaires et étatiques va impliquer, à plus ou moins long terme, pour chacun de nous. A court terme, ces mots sont de nature à rassurer. Face à la pandémie de Covid-19, nos dirigeants promettent de soutenir l’économie « quoi qu’il en coûte ». Mais dans la situation actuelle, compte tenu de l’imminence de cette secousse financière, je pense que ce sont plutôt les détenteurs de capital actuels qui vont payer et que mécaniquement de façon symétrique les générations qui viennent seront libérées de ce fardeau.". Elle a dû r… Toutes les vidéos. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. L’économie est moribonde. Face à la pandémie de Covid-19, nos dirigeants promettent de soutenir l’économie « quoi qu’il en coûte ». Ce dernier restera connecté avec ce compte. Covid : qui va payer la dette ? Aujourd’hui, tout cela vient de la création d’argent. ", "Je ne vois pas comment on peut en sortir sans ce coup financier. Il va falloir renforcer le plan de solidarité mis en place en mars. Les premières photos de la Commune de Paris ont-elles été manipulées ? L’une des analyses les plus brillantes sur le sujet est signée François Lenglet. On n’a pas un peu de confiance, vous avez toute la confiance ou vous n’en avez plus. Et vous laissez entendre, c’est quand même assez fort, qu’économiquement une guerre ça aurait été mieux qu’une pandémie. Ce lundi 5 octobre 2020, François-Xavier Pietri, dans sa chronique "L'éco", nous parle de la dette liée à la fermeture des bars et des restaurants en Île-de-France. La question vaut d’être posée dès maintenant. Qui va payer les dettes de la crise engendrée par le coronavirus ? Et ça, qui va le payer ? Le constat n’est pas complètement noir. Non. Depuis la crise de la zone euro et le fameux « Whatever it takes » de Mario Draghi, la Banque centrale européenne (BCE) est à la manœuvre pour contenir la hausse des taux d’intérêt d’emprunt des Etats. L’État emprunte sans compter pour lutter contre la crise. Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Coronavirus en Belgique: quelle est la situation actuelle dans les maisons de repos? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. CHRONIQUE. ", je vous avoue qu’on était déjà légèrement déprimés avec tout ce qui nous arrive, mais là vous dites clairement que l’issue ne peut être que la ruine. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement. ", "Oui. Vidéo. Artus – Dette publique : qui paiera la facture ? Anne de Guigné, journaliste au Figaro, parie sur une augmentation des impôts à moyen terme. Publié le 30 mars 2020 à 10h29 Temps de Lecture 4 min. Chronique. Dans l’immédiat, ce « quoiqu’il en coûte Â» va se traduire par une pluie de milliers de milliards d’euros, censée ranimer une activité économique tombée en syncope. Vous avez tout à fait raison. Dans la zone euro, le montant total des dépenses budgétaires Covid est évalué à 1.500 milliards d’euros. Le ministre de l'Economie a prévenu ce lundi. Consultez le journal numérique et ses suppléments, chaque jour avant 13h. A partir de là, elle fait des virements, elle investit, elle diffuse, elle irrigue la zone euro de milliers de milliards d’euros. Mais c’est une parenthèse dans l’histoire. il y a un jour. Aujourd’hui, si je sors un billet de 20 euros, je vous le donne, vous n’aurez aucun doute. Il faut s’attendre un crash financier ? Certains le proposent mais cela me semble une voie sans issue parce que malgré tout vous mettez en cause la confiance que l’on a dans la banque centrale et dans la monnaie. Et je pense que derrière ça, parce que ce sont des choses qui se produisent relativement régulièrement, nous attend une période de stabilité macro-économique et peut-être de longue croissance comme nous l’avons connue il y a quelques décennies. Tous les gens qui vivent aujourd’hui ont toujours connu ça. Face à la crise, les banques centrales ont sorti le bazooka : le rachat massif de dette publique pour financer les déficits. Le coronavirus est venu déclencher une trainée de poudre qui s'appelle "deleveraging". Vous savez en fait la banque centrale européenne (BCE), c’est le seul individu dans la zone euro qui est autorisé à faire ça. La suite est réservée aux abonnés. Comme tous les chefs d’état, il a toute suite annoncé que la crise et le confinement allait coûter très très cher. Dette à 115% du PIB : qui va payer la facture ? La dette du Royaume-Uni explose. Est-ce qu’on va vraiment la payer? "Nous devons rester vigilants car nous entrons dans une période avec beaucoup de contaminations", prévient Van Laethem, Coronavirus - BILAN MONDIAL: l'Angleterre instaure son baromètre, Disney va supprimer 32.000 emplois. "En fait, c’est une dette d’une autre nature que d’habitude. On n’emprunte plus à des gens qui ont de l’argent, comme c’était le cas auparavant. chez Albin Michel. Personne n’imaginait que l’expression utilisée le 26 juillet 2012 par Mario Draghi, en pleine crise de l’euro pour signifier que la Banque centrale européenne, qu’il présidait, ferait tout ce qui était en son pouvoir pour sauver la monnaie unique, aurait une telle postérité. Emprunt ou impôt ? Votre avis sur nos contenus nous intéresse. L’épidémie de Covid-19 aura coûté près de 180 milliards d’euros à la France en 2020. Qui va payer la facture pour maintenir à flot l’économie française ? « Quoi qu’il en coûte Â». "En fait, c’est une dette d’une autre nature que d’habitude. "Dans un système normal où on rembourse de façon régulière comme c’est prévu par le contrat initial ce sont bien sûr les générations futures qui paient. Il était donc possible d’avoir le beurre et l’argent du beurre, des prestations sociales généreuses, un système de santé performant, une fonction publique pléthorique, des moyens pour la transition écologique et moins d’impôts.